
Angélique
Lecaille
Anthropocéne, Actes
07.11.2022
Présence, absence, empreinte, perception.
Un parcours proposé par Sylvie Pétron, Coordinatrice du Festival Grande Marée à Brest
Se laisser transporter d’une œuvre à l’autre, ballotée par les oscillations des traits, les distorsions des formes, l’illusion des couleurs. Se faire happer, se faire surprendre, se faire bousculer. Assumer ce face à face, ce dialogue muet qui s’installe, et se laisser doucement aller à rêver. Écouter les œuvres, qui toutes contiennent en elles une parole qui leur est propre, une histoire, une image ou peut-être comme une légère brume qui nous émeut. Cette profondeur que l’on retrouve dans les œuvres sélectionnées ici est de celle qui nous absorbe. Ou comment l’abstraction comme la figuration révèle quelque chose de l’ordre de l’intime. Peu importe la matière, le style ou la couleur. Comme pour un poème, […]
Se laisser transporter d’une œuvre à l’autre, ballotée par les oscillations des traits, les distorsions des formes, l’illusion des couleurs. Se faire happer, se faire surprendre, se faire bousculer. Assumer ce face à face, ce dialogue muet qui s’installe, et se laisser doucement aller à rêver. Écouter les œuvres, qui toutes contiennent en elles une parole qui leur est propre, une histoire, une image ou peut-être comme une légère brume qui nous émeut. Cette profondeur que l’on retrouve dans les œuvres sélectionnées ici est de celle qui nous absorbe. Ou comment l’abstraction comme la figuration révèle quelque chose de l’ordre de l’intime. Peu importe la matière, le style ou la couleur. Comme pour un poème, plonger entre les lignes et contempler. Lyrisme, allégorie, paréidolie… L’émotion donne du sens, fait écho. On se fraie un chemin et une histoire se dessine. J’aime l’idée que l’œuvre une fois exposée puisse échapper à l’artiste qui ne peut absolument pas se douter de l’impression unique qu’elle peut provoquer chez celui qui la regarde. Cette conversation sourde, puissante, insolente, qui fait qu’on se sent à la fois tellement vivant et en même temps si absent au monde, qui laisse en nous une empreinte indélébile, comme un coup de foudre. Ce qui rend ces œuvres si puissantes, c’est leur pouvoir infini de consolation.
Anthropocéne, Actes
Pluisch
Ou le soleil
Lundi bleu
La revanche des oiseaux - installation
En surface
Synchrone, Cernes, Pôle, Ressac
SKYS#3
Opus-Corpus (un cabinet) III
Eliot et ses corsets
Burn
07.11.2022
Présence, absence, empreinte, perception.
Un parcours proposé par Sylvie Pétron, Coordinatrice du Festival Grande Marée à Brest
Se laisser transporter d’une œuvre à l’autre, ballotée par les oscillations des traits, les distorsions des formes, l’illusion des couleurs. Se faire happer, se faire surprendre, se faire bousculer. Assumer ce face à face, ce dialogue muet qui s’installe, et se laisser doucement aller à rêver. Écouter les œuvres, qui toutes contiennent en elles une parole qui leur est propre, une histoire, une image ou peut-être comme une légère brume qui nous émeut. Cette profondeur que l’on retrouve dans les œuvres sélectionnées ici est de celle qui nous absorbe. Ou comment l’abstraction comme la figuration révèle quelque chose de l’ordre de l’intime. Peu importe la matière, le style ou la couleur. Comme pour un poème, […]
Se laisser transporter d’une œuvre à l’autre, ballotée par les oscillations des traits, les distorsions des formes, l’illusion des couleurs. Se faire happer, se faire surprendre, se faire bousculer. Assumer ce face à face, ce dialogue muet qui s’installe, et se laisser doucement aller à rêver. Écouter les œuvres, qui toutes contiennent en elles une parole qui leur est propre, une histoire, une image ou peut-être comme une légère brume qui nous émeut. Cette profondeur que l’on retrouve dans les œuvres sélectionnées ici est de celle qui nous absorbe. Ou comment l’abstraction comme la figuration révèle quelque chose de l’ordre de l’intime. Peu importe la matière, le style ou la couleur. Comme pour un poème, plonger entre les lignes et contempler. Lyrisme, allégorie, paréidolie… L’émotion donne du sens, fait écho. On se fraie un chemin et une histoire se dessine. J’aime l’idée que l’œuvre une fois exposée puisse échapper à l’artiste qui ne peut absolument pas se douter de l’impression unique qu’elle peut provoquer chez celui qui la regarde. Cette conversation sourde, puissante, insolente, qui fait qu’on se sent à la fois tellement vivant et en même temps si absent au monde, qui laisse en nous une empreinte indélébile, comme un coup de foudre. Ce qui rend ces œuvres si puissantes, c’est leur pouvoir infini de consolation.
Anthropocéne, Actes
Pluisch
Ou le soleil
Lundi bleu
La revanche des oiseaux - installation
En surface
Synchrone, Cernes, Pôle, Ressac
SKYS#3
Opus-Corpus (un cabinet) III
Eliot et ses corsets
Burn