Chaleureuses salutations
Chaleureuses salutations, 2023
(après Michael Asher, 1991)
Suite de 16 posters couleur, 50 × 80 cm chaque
Cette suite de posters présente les photographies des chaudières de 16 bâtiments historiques de la ville de Dijon réalisées dans le cadre de mon exposition « Chaleureuses salutations, ». Elle dresse un nouvel état des lieux après le projet de Michael Asher au Consortium de Dijon en 1991 dans lequel il avait porté son attention sur les systèmes de chauffage des principaux bâtiments classés de la ville.
Les Plaisirs de l’hiver, 2023
Panneau usagé de contreplaqué peint en blanc, vis et grille d’aération
100 × 110 cm
Exposition de la façade du caisson de bois dissimulant la chaudière située dans la cave du lieu d’exposition qui fut le déclencheur de mon projet d’exposition.
OUVRE DEHORS, 2023
Journal découpé et collage encadrés, 60 × 80 cm
OUVRE DEHORS est un collage formé à partir d’une anagramme du titre du journal HORSD’OEUVRE, un gratuit sur l’art contemporain édité par Interface à Dijon. J’ai proposé de renommer le journal à l’occasion du 50e numéro édité en lien avec mon exposition.
Les Plaisirs de l’hiver, 2023
Verso de carte postale sur mur peint, 15 × 21 cm
Cette installation est réalisée à partir du verso vierge d’une carte postale reproduisant Les Plaisirs de l’hiver (après 1565) de Pieter Brueghel Le Jeune (1564–1638) conservé au Musée Magnin à Dijon. Ce paysage enneigé sur panneau de bois est l’une des 127 répliques connues de l’œuvre de Pieter Brueghel l’Ancien (1528–1569) dont l’original présumé est conservé à Bruxelles. La carte est fixée sur un mur peint de la même couleur que celui sur lequel le tableau est habituellement accroché.
Les Plaisirs de l’hiver, 2023
Carte postale, clou, diamètre 26 cm
Cette installation est réalisée à partir d’une carte postale reproduisant Les Plaisirs de l’hiver (après 1565) de Pieter Brueghel Le Jeune (1564–1638) conservé au Musée Magnin (Dijon). Ce tableau est l’une des 127 répliques connues de l’œuvre de Pieter Brueghel l’Ancien (1528–1569) dont l’original présumé est conservé à Bruxelles. Si le tableau présente à première vue un paysage hivernal innocent, des détails tels que le piège à oiseaux ou le trou dans la glace au premier plan sont aussi une allusion à la précarité de l’existence. Le recto de la carte est fixé en son centre par un clou permettant de faire tourner la carte autour de son centre de gravité.