Se déplacer demain

BP : Aller et venir est une des grandes libertés de notre société. Son évidence finit par être oubliée. Choisir son mode de déplacement est la liberté qui l’accompagne : à pied, à deux roues, à quatre roues, sur rail ou en bus. Chacun est libre de choisir, personne n’oblige personne. Sauf qu’il faut que ce soit organisé. Si chaque personne a une voiture et n’utilise qu’elle, bonjour embouteillages, encombrements, ralentissements, pollutions. Nos collectivités proposent donc diverses solutions : pour les grandes villes, c’est le métro ou le tramway, parfois les deux. Pour toutes les agglomérations, ce sont les bus auxquels il faut réserver des voies de circulation. Quimper et son agglomération se sont engagées dans une grande politique des transports. Elle suscite l’adhésion chez les uns, des interrogations et oppositions chez d’autres. Des campagnes sont menées pour informer et concerter. Il y a des dossiers qui méritent un énorme effort d’information et de communication. Car il s’agit de demander aux citoyens de se projeter dans le moyen et long terme. Les transports ont toujours modifié la vie dans les villes et les agglomérations. Les gares, les tramways, les métros, les autobus, façonnent nos ensembles urbains depuis le XIXème siècle. Il ne faut donc pas lésiner sur les moyens à mettre en œuvre.

ALQ : L’un des grands chantiers de la nouvelle équipe communautaire est certainement son projet transports. Modifier les habitudes de transport et de déplacement n’est pas facile, c’est pourtant une nécessité pour toutes les villes. À Quimper Communauté la mise en place du projet s’accompagne d’un gros effort de communication. Ce travail s’inscrit dans la durée, la ligne graphique créée pour la première campagne est conservée et déclinée d’année en année pour les différents thèmes abordés. Les communications intercommunales, le schéma vélo et l’enquête publique.

2012

2009

2011

2011

2011

2013