David
Ryan

30.10.2024

Après des études à l’école des beaux-arts de Bordeaux dans les années 80 où il fut l’élève de Christian Boltanski et Annette Messager, David Ryan (né en 1960 à Toulon) se dirige vers le dessin et la vidéo. Lauréat de La Villa Médicis Hors les Murs en 1984, ce prix lui permet d’exposer à PS One, Institute of Contemporary Art de New York puis à nouveau en 1987.Dans les années 90, il obtient plusieurs bourses de recherches et commandes publiques en France et à l’étranger, des Etats-Unis au Japon en passant par Nantes et Brest. A partir de 2009, David Ryan devient le chasseur de Trèfles. Il créé le Centre International du Présent en 2010 avec La Fondation du Doute à Blois. D’une exposition à une autre, entre […]

Textes
critiques

Texte critique

Le gyrovague

Extraits du texte accompagnant l’exposition
Texte écrit par Paul de Sorbier, responsable de la Maison Salvan.
« Elle fait des lettres qui dépassent de chaque côté les deux lignes à l’intérieur de quoi on doit écrire, ça dépasse en haut et en bas, ça touche les autres lignes, ce n’est pas droit. Mademoiselle dit, recommencez ». Il faut « […] mettre les mots en ligne droite ».Dans sa trajectoire en France et dans le nord de l’Irlande, sa terre par sa mère, tout autant que dans ce que l’on peut observer de sa pratique artistique, il ressort que David Ryan refuse les camps et les …
Texte critique

Nothing at all

Katell Jaffrès, 2016
Avec Nothing at All, Modes Idiorythmiques de la Coexistence, les artistes Jérôme Joy et David Ryan interrogent nos rapports biographiques au monde et à sa réalité avec l’engagement qui caractérise leur démarche depuis leur première collaboration, à l’orée des années 1980.Leur exposition commune est un récit réel, à la fois poétique et politique. Il y est question de lisières et d’abris, de mondes renversés et de ré-enchantement. À travers le dessin, la vidéo, le texte, les …
Texte critique

Figures et paysage

Fabrice Hergott, 1994
Il y a deux types d’artistes : ceux qui croient qu’il est indispensable d’être en accord avec son époque et ceux qui ne s’en soucient pas une seconde. Ces derniers sont persuadés qu’ils portent avec eux, et jusque dans la moindre de leur action, une réalité qui n’a rien de commun avec les contingences de l’année 1994. Pour eux, une œuvre peut très bien se présenter sous la forme d’une enluminure, d’une sculpture en ivoire, d’un ready-made ou même d’une peinture, ils savent …

Portrait filmé

MOTS-CLÉS

Les contributeur·rice·s au projet le Chasseur de trèfles