LOW

Villa Merkel, Esslingen am Neckar, Allemagne

NFT ph, 2019

Matériaux divers, dimensions variables

Fantôme #17 (2020), Easy to say (2019) ; Cast your words (2020)

PMMA noir sablé au pochoir, bande velcro, réglet en aluminium. 190 x 290 x 0,3 cm

Easy to get (2019) ; Cast your words (2020)

Peinture acrylique, pigments phosphorescents, peinture à l’huile, résine noire, châssis aluminium. 140 x 100 x 2,5 cm

Low (2020) ; Long gone (2019)

*Sérigraphie sur papier. Réalisée avec Jean Marc Ballée. 120 x 168 cm*

Long gone, 2019

Coquillage, peinture chromée, silicone, pigment phosphorescent, tube de cuivre. Approx. 100 x 20 x 20 cm

NFT ph < Mirror, 2020

Écran plat 42 pouces, verre soufflé, laiton, plante, vidéo HD 1080p sans son 4’46”. Approx 100 x 60 x 50 cm

Innocent times, 2020

Verre soufflé, verre phosphorescent, eau déminéralisée, bases lumineuses, programmes informatique. Dimensions variables

Innocent times, 2020

Verre soufflé, verre phosphorescent, eau déminéralisée, base lumineuse, programme informatique. Approx. 50 x 35 x 35 cm

Innocent times, 2020

Verre soufflé, verre phosphorescent, eau déminéralisée, base lumineuse, programme informatique. Approx. 40 x 45 x 45 cm

Quantum, 2020

Structure en laiton, PMMA noir, plantes, verre soufflé, acier poli, carte électronique, controleur LED, fibre optique, amplificateur, enceinte, matériaux divers. Approx. 300 x 100 x 100 cm

Spin #1, 2020

Verre soufflé, feuille d’argent, silicone, pigment phosphorescent, éponge naturelle, peinture chromée.

L’exposition low présentée à la Villa Merkel (Esslingen am Neckar, Allemagne) est histoire de mises en tension, de mondes parallèles, de technologies futures et d’espoirs absurdes. Au travers d’une installation monumentale (_NFT ph (2019)), un film (Drop out (2020)), d’étranges artefacts lumineux et des glyphes laissés par une branche éteinte de l’humanité, Hoël Duret investigue les relations entre nature et technologie. Dans le contexte particulier de la pandémie, l’artiste développe une image critique et alternative de l’ère numérique comme phase cohérente de l’histoire humaine et montre avec humour qu’un tel concept ne peut-être affirmé qu’au prix d’un masquage de la diversité et de la précarité de notre monde._