Ces deux photographies sont des représentations de papiers marbrés (papier à la cuve) utilisé notamment en reliure et en restauration de livres anciens.
Le médium, le format et la transparence du support utilisé ont significativement transformé ce faux-marbre et autres imitations de roches en une réflexion et en un questionnement sur ce procédé mécanique produisant des représentations stéréotypées de la gestualité, de l’improvisation et de l’aléatoire.
La transparence du support laisse apparaître la surface d’accrochage et prolonge ainsi matériellement et spatialement ce qui est devenu un objet visuel.