Mes exercices de la peinture, de la lecture, de l’édition, de la danse, de la cueillette ou encore de la transformation des cueillettes ne se font pas sur les mêmes modes, ensemble ils doivent se combiner pourtant, en des lieux et dans les jours. C’est du maintien et de la rencontre de ces diverses formes esthétiques qu’apparaissent les effets dynamiques et les récits qui mènent mon travail. Les contextes d’exposition ou de performance sont les occasions pour moi de les faire se formuler et dialoguer nouvellement. Il en passe souvent par la peinture. Composer des espaces pluriels, polyphoniques m’est important, polyglottes serait un graal. Les amitiés me portent. Certaines formes toutefois, parfois […]
Mes exercices de la peinture, de la lecture, de l’édition, de la danse, de la cueillette ou encore de la transformation des cueillettes ne se font pas sur les mêmes modes, ensemble ils doivent se combiner pourtant, en des lieux et dans les jours. C’est du maintien et de la rencontre de ces diverses formes esthétiques qu’apparaissent les effets dynamiques et les récits qui mènent mon travail. Les contextes d’exposition ou de performance sont les occasions pour moi de les faire se formuler et dialoguer nouvellement. Il en passe souvent par la peinture.
Composer des espaces pluriels, polyphoniques m’est important, polyglottes serait un graal. Les amitiés me portent.
Certaines formes toutefois, parfois soudaines, peuvent se tenir en elles-mêmes et pour elles-mêmes.
Guillaume Pellay, 29 juillet 2024