Dans les yeux de Romy déferle l’écume, et la joie est nonchalante.
J’ai voulu peindre ce qui me touche tout simplement.
Les courbes d’un visage.
Un paysage.
Tenter une fois de plus de capturer cette mélancolie particulière propre au Ukyo-e.
La peinture est découpé par deux plans serrés qui se superposent dans l’azur d’un éternel été indien.
Un plage à vue, ou un détail dans les yeux de Romy…
Je ne savais plus trop à la fin.