Les ressources principales de l’île sont la lave, les galets, le bois flotté, la langouste, les œufs, la viande de bœuf et les pommes de terre. Un bateau par mois ravitaille l’île. Les fruits sont rassionnés et distribués équitablement entre les 275 habitants. Il est très difficile de s’approvisionner en matériaux de construction

« Les animaux sont en liberté ici, et participent étroitement à l’entretien des espaces publics. Les potagers et les champs sont protégés des animaux divaguants par des murets de pierres ponce noires. Ils créent ainsi un micro climat favorable à la culture de légumes. Nous avons chacun une maisonnette à 30 mn de marche du village, 10 mn de tracteur. C’est à la fois un chalet de loisirs, un abri à outils un espace de liberté et d’intimité. Cela me fait penser à Tristan et Isolde qui se retrouvaient dans leur cabane construite avec la seule épée de Tristan. »

« Dans l’hémisphère Sud, les façades Nord sont percées de fenêtres, tandis que les pignons Sud en lave isolent contre le froid généré par l’ombre du volcan. Les autres murs sont en matériaux de construction que nous avons récupérés. Ils peuvent être parfois en béton banché réalisé avec du sable de mer. Les ferraillages sont peu nombreux, et de gros galets plongés dans le béton au coulage, assurent la résistance structurelle des parois. »

Lorsque les habitants de l’île sont revenus après la dernière coulée de lave du volcan, les animaux étaient redevenus à l’état sauvage, ceux trop domestiqués n’avaient pas pu survivre. Des vaches et des poules ont été réintroduites immédiatement.

« De la même façon que les maisons, les poulaillers que nous avons reconstruits utilisent les ressources de l’île : la déclivité du sol, les blocs de lave légers et les « matériaux flottés » récupérés sur les rivages comme le bois, les filets, grillages. »

Ces projets utilisent la chaleur de la terre et bénéficient des facteurs isolants des blocs de pierre ponce naturelle (16kWh/m3). Ils sont exposés au sud et bénéficient de la radiation des murs noirs de lave et sont protégés des vents dominants. Un espace de détente sécurisé est aménagé en avant du poulailler avec une porte d’accès pouvant être maintenue ouverte pour que les poules puissent aller et venir librement. Les perchoirs, nichoirs et mangeoires sont également intégrés dans les parois latérales des constructions.

Les ressources principales de l’île sont la lave, les galets, le bois flotté, la langouste, les œufs, la viande de bœuf et les pommes de terre.

Les animaux sont en liberté et participent étroitement à l’entretien des espaces publics. Les potagers et les champs sont protégés des animaux divagants par des murets de pierre ponce noires. Ils créent aussi un micro climat favorable à la culture de légumes. Chaque habitant de l’île a une maisonnette à 30 mn de marche du village, 10 mn de tracteur. Il est à la fois un chalet de loisirs, un abri à outils, un espace de liberté et rencontres secrètes pour les adolescents.

Dans l’hémisphère sud, les façades Nord sont percées de fenêtres tandis que les pignons sud, en lave, isolent du froid généré par l’ombre du volcan. Les autres murs sont en matériaux de construction récupérés. Ils peuvent être parfois en béton banché. Les ferraillages sont peu nombreux et de gros galets plongés dans le béton au coulage, assurent la résistance structurelle des parois.