“Plantons le décor. Nous sommes encore dans l’après-68, qui a vu l’affiche politique exploser sur les murs. La tradition est vivace et la demande forte.”

“Que les combats soient locaux… nationaux… ou internationaux”

Pour la libération des prisonniers politiques avec Amnesty international, 1978

Affiche pour le boycott du Mondial de foot en Argentine en 1978

Nucléaire. Informez-vous ! 1979

1982

1990

1993

1995

C’est la vie, 1997

ALQ: Je me souviens de la guerre de Bosnie, de l’affiche éditée par le PS dénonçant un camp de concentration d’Omarska. Je me souviens aussi d’une autre affiche de soutien faite pour soutenir la Bosnie. Cette affiche, de fait, était un manifeste contre la guerre, j’avais écrit Bosnie mais j’aurais pu écrire Beyrouth dix ans plutôt, ou Gaza ou Damas aujourd’hui… C’est ce même concept que j’ai développé dans la phrase I kill you, you kill me, c’est la vie et que j’ai ressorti de guerre en guerre, en mur peint dans une exposition, en dessin de presse pour Le Monde lors d’un nouvel épisode de la confrontation sans fin Israël-Palestine. Images dérisoires dans une géopolitique aux enjeux inavoués, où nos médias sont aussi, plus ou moins consciemment, des organes de propagande et de conditionnement.

Contre la torture, 2006

Bugaled Breizh. On nous doit la vérité, 2009

2010

A l’occasion de la réélection de Poutine en 2012

2013

2014

Un pas de Géant pour l’humanité, pour le 70ème anniversaire d’Hiroshima, 2015